Travailler en équipe sans échéancier, c’est un peu comme partir pour un cours sans analyser le temps de trajet en métro, en autobus, à pied, en auto, alouette. Avec un peu de chance, on arrive à temps, mais il est fort possible qu’on ait amplement couru!
Établir un échéancier collectif permet de répartir le travail à faire sur l’ensemble de la session. On évite alors de pédaler en cours de route.
L'échancier doit être discuté, réfléchi et approuvé par tous les membres de l'équipe. Un calendrier de travail qui prend les réalités de chacun en compte tiendra davantage la route.
Difficile de prévoir le déroulement de la session; il est donc prudent de prévoir l’échéancier avec une ou deux semaines d’avance. Si un imprévu survient et retarde la réalisation du travail, l’équipe aura un peu d'air pour terminer le tout.
L’échéancier n’est pas figé dans un bloc de glace. L'idée n'est toutefois pas de le modifier dans son entierté, mais plutôt de l’ajuster à des variables qui étaient encore inconnues en début de parcours. Tout changement demande bien évidemment l'accord des autres membres de l'équipe!
Certaines tâches du travail d’équipe se feront individuellement et méritent donc d’être planifiées. À quel moment comptez-vous travailler sur le projet individuellement?
Vous travaillerez dans différents fuseaux horaires?
Il devient alors encore plus important de bien vous organiser! Les moments passés tous ensemble seront possiblement plus rares et un échéancier bien précis vous évitera de prendre du retard. Pour plus de conseils, consultez la section Participer à une séance de travail en virtuel.